52 jeunes représentants de 35 pays, rejoints par plus de 400 responsables gouvernementaux, éducateurs et défenseurs des droits de l’homme du monde entier, se sont réunis au siège des Nations Unies à New York pour le 18e Sommet international des droits de l’homme. Ils se sont réunis avec un objectif commun : promouvoir l’éducation et la défense des droits de l’homme. L’événement organisé par la Mission permanente du Timor-Leste auprès de l’ONU avait pour objectif de traiter des questions d’injustice et d’œuvrer pour la promotion de la paix, par l’éducation et l’activisme.
Sous le slogan « Empower-Unite-Transform », le 18e Sommet international des droits de l’homme a débuté par une démonstration de passion et de plaidoyer juvéniles, alors que 52 jeunes délégués et ambassadeurs de 35 pays, rejoints par plus de 400 responsables gouvernementaux, éducateurs et défenseurs des droits de l’homme du monde entier, se sont réunis dans la salle de conférence 4 du siège des Nations Unies à New York. Leur arrivée a été accueillie par une ovation debout de la part des participants, reflétant le respect collectif pour leur engagement en faveur des droits de l’homme.
Ces délégués exceptionnels, sélectionnés parmi un large bassin de candidats en fonction de leurs excellents antécédents en matière de défense des droits de l’homme, ne sont pas venus uniquement pour recevoir des éloges. Leur principal objectif était d’élargir leurs connaissances et leurs compétences pour faire avancer leurs objectifs.
Dr. Mary Shuttleworth, présidente et fondatrice de Youth for Human Rights International, dirige l’organisation de ces sommets depuis leur création en 2004. Elle a félicité les délégués pour leurs réalisations et leur potentiel futur, soulignant l’importance de leur travail en cours.
Les diplomates et les représentants des missions permanentes des pays auprès de l’ONU, comme l’Australie, les Bahamas, la Bolivie, la République démocratique du Congo, le Sri Lanka, le Timor-Leste et les États-Unis d’Amérique, ont également transmis leurs salutations et leurs meilleurs vœux.
Le sommet de cette année a été organisé une fois de plus par la Mission permanente du Timor-Leste auprès des Nations Unies. Il a également été retransmis en direct sur UN Web TV.
Au cours de l’événement, Beth Akiyama, du Bureau des affaires nationales de l’Église de Scientologie à Washington, DC, qui s’exprimait au nom de l’Église de Scientologie internationale, a souligné l’importance de démarrer le sommet le 18 juillet, qui coïncide avec la Journée Nelson Mandela, proclamée par les Nations Unies. L’héritage de Mandela en tant que défenseur des droits est remarquable, en particulier sa conviction que « l’éducation est l’arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour changer le monde ». Akiyama a souligné comment cela s’aligne sur la mission de Youth for Human Rights, qui se concentre sur la transformation mondiale par l’éducation, à propos de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Alors que le sommet progresse, un groupe de jeunes défenseurs unis par leur dévouement commun et soutenus par diverses missions et organisations internationales vise à faire progresser l’éducation aux droits de l’homme et à susciter un mouvement pour éliminer l’injustice et promouvoir la paix dans le monde entier.
Les deux premiers jours du Sommet sont consacrés à des panels sur des sujets liés aux droits de l’homme :
LES JEUNES ET LES DROITS DE L’HOMME : Une discussion sur le rôle essentiel des jeunes dans la promotion des droits de l’homme et dans l’exemple qu’ils donnent à leurs pairs.
ÉDUCATION AUX DROITS DE L’HOMME : L’importance d’intégrer les droits de l’homme dans les programmes d’enseignement pour inculquer des valeurs de dignité et d’unité aux futurs dirigeants.
DROITS DE L’HOMME APPLIQUÉS PAR LA LOI : Une discussion sur l’intégration des droits de l’homme dans les cadres juridiques et le rôle des institutions telles que les tribunaux, les forces de l’ordre et les législatures dans le respect de ces droits.
DÉFENDRE LES DROITS DE L’HOMME DANS LES ARTS ET LES MÉDIAS : Le rôle des journalistes, des cinéastes, des artistes et des influenceurs, et la nécessité de la liberté d’expression et du soutien des initiatives créatives qui défendent les droits de l’homme.
LES DROITS DE L’HOMME EN ACTION : L’importance des organisations à but non lucratif de défense des droits de l’homme, le rôle vital de la participation active dans la promotion des droits de l’homme et les moyens créatifs d’y parvenir.
La dernière journée du Sommet se conclut par une célébration au Centre communautaire de l’Église de Scientologie de Harlem, suivie d’une action de sensibilisation communautaire à Times Square, à New York. Au cours de cette action de sensibilisation, les participants mettent en pratique leurs connaissances en sensibilisant les individus aux 30 droits de l’homme.
Le Sommet international annuel des droits de l’homme sert de plateforme aux défenseurs des droits de l’homme, aux fonctionnaires, aux dignitaires et aux jeunes pour échanger des idées et collaborer à la mise en œuvre d’initiatives.
L’objectif principal du Sommet est de plaider en faveur de l’inclusion de l’enseignement de la Déclaration universelle des droits de l’homme dans les programmes scolaires et de garantir que ces droits soient protégés par la loi.
L’Église de Scientologie et ses membres croient fermement, comme l’a inspiré le fondateur de la Scientologie, L. Ron Hubbard, que la connaissance est la clé de la liberté, et soutiennent donc activement United for Human Rights et son programme Youth for Human Rights en offrant gratuitement leurs ressources et programmes.
Pour plus d’informations, veuillez consulter le site Web de United for Human Rights :
droitsdelhomme.com.
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