Les Forces de défense israéliennes (FDI) ont annoncé vendredi avoir récupéré les corps de trois otages israéliens tués lors des attaques terroristes menées par le Hamas le 7 octobre. L’armée israélienne a identifié les trois individus comme étant Itzhak Gelerenter, Amit Buskila et Shani Louk, dont les corps ont été kidnappés par le Hamas après avoir été confirmés morts le 30 octobre.
L’armée israélienne a déclaré :
D’après les renseignements vérifiés en notre possession, Yitzhak Gelernter, Shani Louk et Amit Buskila ont été assassinés lors du massacre du 7 octobre à l’intersection de Mefalsim, et leurs corps ont été enlevés à Gaza. Les corps des otages ont été sauvés lors d’une opération conjointe de Tsahal et de l’ISA, basée sur des renseignements précis de l’ISA obtenus lors des interrogatoires des terroristes appréhendés dans la bande de Gaza, ainsi que sur les renseignements du quartier général de la Direction du renseignement de Tsahal pour les otages et les personnes disparues.
Itzhak Gelerenter, Amit Buskila et Shani Louk assistaient à un festival de musique le 7 octobre lorsque l’attaque terroriste du Hamas a eu lieu. Le Hamas a pris plus de 200 personnes en otages et tué plus de 1 200 personnes.
En février, Israël a confirmé qu’un cinquième des otages étaient morts. Le Hamas est désigné comme groupe terroriste par divers pays, dont le Royaume-Uni et les États-Unis, et le groupe a violé le droit international et commis des crimes de guerre au cours du conflit Israël-Hamas. Certains pays, dont l’Allemagne, ont défendu le droit d’Israël à l’autodéfense en réponse aux attaques terroristes du Hamas.
Plus tôt ce mois-ci, Standing Together, un mouvement pacifiste judéo-palestinien, a défilé à Tel-Aviv pour un cessez-le-feu, un accord d’otages et un accord de paix israélo-palestinien.
L’armée israélienne affirme qu’elle poursuivra ses efforts pour sauver les otages israéliens, déclarant que «[t]Tsahal et l’ISA continuent, même en ce moment, à déployer tous les moyens opérationnels et de renseignement et à prendre des risques opérationnels afin d’accomplir la tâche nationale suprême de ramener tous les otages.