29 enfants au Nigeria sont face à une peine de mort imminente après avoir été accusé d’actes de crime comprenant la trahison, la destruction de biens, les troubles à l’ordre public et la mutinerie. Ces des enfants, âgés de quatorze à dix-sept ans, font partie des 76 personnes qui ont été arrêté par la police et traduit en justice vendredi après avoir participé à des manifestations contre le coût de la vie qui sévit au Nigeria depuis août.
Les praticiens du droit et les défenseurs de la bonne gouvernance ont condamné cet acte déclarant qu’il constitue une infraction à la Loi sur les droits de l’enfant du Nigeria. La loi accorde aux enfants le droit de se réunir pacifiquement conformément à la loi et sous les conseils de leurs parents ou tuteurs. Il précise également qu’un enfant qui a qui aurait commis un acte qui constituerait un acte criminel s’il était majeur doit être soumis aux systèmes et processus de justice pour enfants. Il s’agit notamment du recours à la police les enquêtes et les décisions devant le tribunal en tant que moyen de dernier recours lorsqu’il s’agit de enfants délinquants.
La loi prévoit d’autres moyens de régler l’affaire, par exemple règlement judiciaire, surveillance et indemnisation des victimes. Bien que ces particuliers dispositions s’appliquent aux infractions non graves, cela relève de la discrétion de la personne qui s’occupe de aux enfants délinquants de décider si ces mesures alternatives peuvent être utilisées dans un contexte cas précis.
La loi sur les droits de l’enfant prévoit en outre que la détention d’un enfant délinquant présumé en attendant son procès doit être utilisé comme moyen de dernier recours et que lorsque la détention est jugée nécessaire, l’enfant doivent être pris en charge, protégés et accompagnés en fonction des besoins ils pourraient avoir. Une procédure régulière qui satisfait à l’exigence d’un procès équitable doit également être respecté par le tribunal chargé des affaires impliquant des enfants. Le tribunal a en outre agir de manière à protéger à tout moment l’intérêt supérieur de l’enfant.
Alors que selon le Loi sur le Code pénal nigérian la punition pour trahison est la mort peine, diverses conventions internationales protègent les 29 enfants contre cette menace phrase. Ceux-ci incluent le Pacte international relatif aux droits civils et politiques qui déclare qu’aucune peine de mort ne sera prononcée pour des crimes commis par des personnes de moins de dix-huit ans ans. Le Convention relative aux droits de l’enfant interdit également la peine capitale pour les personnes de moins de dix-huit ans. En outre, Garanties garantissant Protection des droits des personnes passibles de la peine de mort déclare que les personnes de moins de 18 ans majeur au moment de la commission d’un crime ne peut être condamné à mort.
UNICEF a été appelé pour examiner cette affaire.