Largement détestée par les avocats comme par les clients, l’heure facturable s’est néanmoins révélée plus résistante que les cafards, les Twinkies et ces contenants non biodégradables qu’on utilisait pour se procurer des fast-foods.
Il semble que chaque fois qu’il y a une perturbation ou un événement majeur qui menace de bouleverser le secteur juridique, cela sonne le glas de l’heure facturable. Mais c’est peut-être plus par espoir qu’autre chose. L’heure facturable a survécu à la Grande Récession et à la pandémie de COVID-19, même si de nombreuses personnes pensaient – ou souhaitaient peut-être – que ce ne serait pas le cas.
Mais avec l’avènement d’outils d’intelligence artificielle générative capables d’effectuer des tâches en quelques minutes mais qui pourraient prendre des heures aux avocats ou aux professionnels du droit, pourrions-nous enfin assister à la fin des heures facturables ?
Dans cet épisode du podcast Legal Rebels, Reid Trautz, directeur principal du Practice and Professionalism Center de l’American Immigration Lawyers Association, parle à Victor Li de l’ABA Journal de ce que tant d’avocats et de clients aiment détester mais peuvent ‘ Je ne semble pas arrêter. Ils discutent de l’heure facturable et de la manière dont l’IA pourrait ou non l’affecter.
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Dans ce podcast :
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Reid Trautz
Reid Trautz est directeur principal du Practice and Professionalism Center de l’American Immigration Lawyers Association, où il conseille les avocats sur la façon d’améliorer leurs activités et d’innover dans la prestation de services juridiques à leurs clients. Trautz est membre élu du College of Law Practice Management et est lauréat du Fastcase 50, qui récompense les innovateurs en technologie juridique. Trautz est co-auteur de la rubrique Future Proofing pour le magazine Law Practice de l’ABA et est actuellement président du comité sur la technologie et la pratique future du droit du Virginia State Bar.