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Depuis le 1er décembre 2023, tous les employeurs de 50 salariés ou plus sont tenus de désigner parmi leur personnel un conseiller de confiance.
Le conseiller de confiance joue un rôle essentiel pour écouter, informer et conseiller… Cette personne joue un rôle de première ligne important dans la procédure interne informelle de traitement des discriminations, des violences ou du harcèlement au travail, permettant de rechercher des solutions de manière informelle et confidentielle. manière. La nomination obligatoire d’au moins un conseiller de confiance interne garantit que les travailleurs ont toujours accès à une personne de soutien ayant une connaissance suffisante de la structure, du fonctionnement et de la culture de l’entreprise.
Il ne suffit pas que l’employeur désigne arbitrairement un conseiller de confiance pour remplir ses obligations.
Afin de garantir la neutralité du conseiller de confiance, les personnes suivantes ne peuvent être désignées pour exercer cette fonction :
Conseillers en prévention/médecins du travail ; Représentants de l’employeur ou du personnel (ou candidats à ce poste aux élections sociales) au Comité d’Entreprise (CE) et/ou au Comité de Prévention et de Protection au Travail (CPPW) ; Délégués syndicaux ; Gestion du personnel.
Lorsque l’employeur désigne un (ou plusieurs) conseiller(s) de confiance, il doit obtenir l’accord de tous les membres représentant les travailleurs du CPPW. Si aucun accord n’est trouvé, l’employeur doit demander l’avis du Service d’Inspection pour le Contrôle du bien-être des travailleurs dans l’exercice de leur travail avant de prendre une décision. Si l’employeur ne suit pas les conseils du Service d’Inspection, il doit informer le CPPW des raisons qui l’ont motivé à prendre une telle décision.
Une fois désignées, les coordonnées du conseiller de confiance doivent non seulement figurer dans le règlement de travail, mais également être facilement accessibles aux travailleurs en étant publiées dans un endroit approprié (tableau d’affichage, intranet, etc.). Le Code du bien-être des travailleurs dans l’exercice de leur travail exige que le conseiller de confiance soit formé dans les deux ans suivant sa nomination.
L’employeur qui ne respecterait pas l’obligation de désigner une personne de confiance s’expose à des sanctions pénales et administratives allant de 200 à 4 000 euros.
Pour plus d’informations, veuillez contacter M. Carl VANDER ESPT
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